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[Thierry Debaisieux]

Merci d’avoir pris le temps de nous poster ce message, Hugo, malgré la fatigue du voyage.

Amitiés,

[Roroyaute]

Salut Hugo,

Merci pour le CR. Je ne doute pas du temps de travail que ça prend ...

Une petite anecdote :

Au domaine Voillot par exemple, lors des millésimes difficiles , les prix avaient sensiblement augmentés pour baisser en 2017 lors de la récolte "abondante" ... Jean Pierre Charlot l'avait décider ainsi.

J'ai eu Etienne Chaix par mail ces derniers temps et cela va être pareil pour ces prochains millésimes. Une augmentation (mais moins forte je pense que Chicotot avec promesse de baisse (et je le crois sincèrement) lorsque cela ira 'je l'espère) mieux ... Qui peut se targuer de faire ça et plus particulièrement en bourgogne ?

Revenons en aux vins de Chicotot maintenant. Je suis content d'avoir encavé qq 2017 pour ma petite et j'espère le faire pour 21 pour mon dernier mais ça me semble fort compromis ...


Je suis sûr en revanche que la qualité est et restera super !

[Thierry Debaisieux]

Bonjour Romain,

Sylvain et Nathalie Langoureau font de même.
La hausse des prix des années difficiles est suivie d'une baisse dans les années plus productives.

Amicalement,

[Hugo B.]

Bonjour Thierry et Romain,

merci pour vos réponses!

C’est vrai chez Voillot les prix peuvent varier des deux côtés, c’est en tout cas ce qu’Etienne et Jean-Pierre m’ont dit lors de notre visite au domaine cette année. Je ne doute pas de leurs paroles.
Je ne sais pas comment évolueront les prix chez Chicotot, je sais que chez Voillot il va y avoir également une augmentation, idem chez Amiot à Morey-St-Denis. Et ne nous leurrons pas ce sera partout pareil.
Pour ces trois domaines ils ont en commun une passation de pouvoir à la jeune génération, vous avez entendu parlé des frais de succession et des chiffres (pour nous inconcevables) que cela représente. C’est peut-être naïf mais je suis content de participer, à mon échelle, pour ne pas que ces domaines tombent entre d’autres mains que celles de gens qui ont des valeurs que je partage.

Les vignerons ne sont pas pauvres et heureusement encore mais si ils sont riches c’est principalement de leur savoir. Leurs parcelles constituent un passif qui reste avant tout un outil de travail, tout comme les machines agricoles et le chai.

Bref sujet clos pour moi, je reviendrai vite pour les quelques vins dégustés

Amitiés à vous deux,

[alex73]

Hugo,
Merci pour toutes ces précisions.

Amitiés

[ptitphilou]

Leurs parcelles constituent un passif qui reste avant tout un outil de travail, tout comme les machines agricoles et le chai.

Bonjour Hugo, tout d'abord merci pour le compte-rendu et tes propos très clairs.
Je viens de rentrer une bouteille de Chicotot (Pruliers 2016) aux enchères. Je ne connais pas encore le domaine, cette rubrique et toi en particulier m'ont donné envie de le découvrir. Il me semble proche du domaine Chevillon dont j'aime beaucoup les vins.
Ca ne me dérange pas de payer un peu plus cher un domaine qui investit, progresse en qualité et/ou connît des difficultés liées aux évènements extérieurs type météo. Du moment que tout est fait de façon transparente et assumée. Ce domaine me semble particulièrement respecter sa clientèle, chapeau !

Juste un mot sur ta phrase citée ci-avant : il s'agit plutôt d'un actif que d'un passif, car leurs parcelles est un élément clé pour générer des revenus. A lire avec

Bien amicalement,
Philippe

[Hugo B.]

Passage au domaine jeudi dernier, l’emploi du temps très chargé ne nous a permis de faire qu’une seule visite et c’est naturellement que j’ai contacté Pascale Chicotot pour savoir si nous pouvions être reçus dans cette période très active d’après vendanges.

Nous sommes reçus par toute la famille: Pascale, Georges et leur fils Clément que nous rencontrons pour la première fois en chair et en os . Nous avons eu une discussion absolument passionnante sur les évolutions au domaine (à la vigne comme au chais) mais également sur l’histoire de Nuits-Saint-Georges et ses climats. On ressent la passion qui anime Clément et même si 2021 fût compliqué à l’entendre tout parait simple. Surtout, tout est réfléchi, intelligent et à l’écoute de la nature. En cave Pascale commence à passer le relais depuis 2020. Là aussi Clément apporte des idées nouvelles qui donnent parfois lieu à de beaux échanges entre les générations . Pour l’anecdote le travail est si méticuleux que la moindre petite vis d’une cuve inox est rendue impeccable avant les vinifications !

Nous avons discuté 2 belles heures avant de laisser Clément retourner à ses obligations et passer en cuverie avec Pascale pour une petite dégustation de quelques bouteilles ouvertes, le temps manquant pour refaire le tour des 2020 en cave.

On commence par une surprise, un très bel exercice de dégustation offert par Pascale qui s’en va tirer d’une cuve un peu de Nuits-St-Georges 1er cru les Saints-Georges 2021. N’ayant jamais dégusté un vin ainsi à l’aube de sa vie et ne pouvant me projeter sur son avenir je resterai sur des impressions générales. Le nez est d’une très grande pureté et ce sont surtout les arômes floraux qui dominent à l’heure actuelle avec de la violette comme je n’en ai jamais ressenti sur le cru. Je ressens des petites notes de fruits rouges en arrière plan, plutôt groseille. En bouche on a une belle tapisse, on est sur une texture moins voluptueuse que sur les derniers millésimes mais avec tout de même une sensation d’étoffe. Longue finale florale.

On passe ensuite au Nuits-St-Georges 1er cru les Rues de Chaux 2018. Un climat que je goûte de mieux en mieux notamment depuis le splendide 2017 (et le 2020 qu’il ne faudra pas manquer...). Un nez ouvert, délicat, où se mélangent les petits fruits rouges et noirs, une petite pointe florale caractéristique du cru. En bouche le jus déroule suave avec une belle matière qui enrobe rapidement tout le palais, tanins délicats et légèrement veloutés. Longue finale, fraîche et fruitée. Un vin qui descend vite sur table

Pascale nous sert ensuite le Nuits-St-Georges 1er cru aux Toreys 2018. Légère pression pour le dégustateur puisqu’un savoyard sévissant sur ce forum a eu un coup de cœur pour ce vin
Très joli nez, également délicat mais plus floral que fruité (on est côté Vosne) avec ces notes classiques de pivoine, puis la mûre, pointe cerise. Joli fond réglissé. En bouche on passe une marche avec un peu plus de matière, de soyeux dans la texture, plus de puissance mais le vin est totalement équilibré grâce à une belle acidité qui gaine le fruit. Longue finale, puissante, florale. Le climat préféré de Stefanie

On se lance dans une comparaison avec les 2019.

On débute donc avec le Nuits-St-Georges 1er cru les Rues de Chaux 2019. La robe rubis est un peu plus sombre que celle du 2018. 3ème fois que je déguste ce vin au domaine et il ne fait que s’améliorer... mais où s’arrêtera t’il? On retrouve au nez de beaux arômes de petits fruits rouges (groseille, framboise), cette pointe florale sur fond épicé réglissé avec une petite touche moka (boisé?) sur ce millésime. Bouche gourmande (je trouve ces 2019 d’une rare gourmandise) avec des arômes de fruits rouges et noirs, grosse matière et concentration, les tanins sont fins et soyeux, longue finale fruitée et florale mais sans la fraîcheur de 2018. Comme l’a écrit Thierry il faudra être patient pour profiter de cette très belle bouteille.

Enfin le Nuits-St-Georges 1er cru aux Toreys 2019. Ici aussi la robe est plus sombre qu’en 2018. Un nez assez proche de 2018, on retrouve la pivoine, la cerise et les fruits noirs sur un joli fond boisé. En bouche la texture est très soyeuse, grosse matière portée par une acidité gourmande. Très belle équilibre malgré la grosse concentration. Ca envoie des arômes floraux et de fruits noirs dans tous les sens. Très longue finale, fraîche et florale. Grand vin !

J’ai toujours une préférence pour 2019 face à 2018 même si il est difficile de savoir comment évolueront vraiment ces vins qui semblent être de grande garde. Pascale me fait remarquer, à raison, qu’il y a plus d’acidité en général dans Les 2018 et que ceux-ci iront probablement plus loin dans le temps. Je ne boude pas mon plaisir de pouvoir faire de beaux matchs comme celui-ci dans quelques années.

Pour finir ce ne sera pas un mais deux vins mystères qui seront servis. Très franchement je n’ai même pas tenté de deviner tant c’était compliqué cette fois
Lisant régulièrement que les 2005 ne s’ouvriraient peut-être jamais Pascale nous sert un Nuits-St-Georges les Charmottes 2005. Et là bam la claque le vin commence effectivement à être bien ouvert, on a encore de beaux arômes de fruits rouges qui se mêlent à des arômes tertiaires. En bouche les tanins sont bien fondus, c’est soyeux, ca descend très vite... 2005 est bien le grand millésime annoncé.
Le dernier vin dégusté sera un Nuits-St-Georges 1er cru les Rues de Chaux 1995. Très belle robe tuilée et brillante. Au nez ce sont vraiment des arômes de champignons nobles grillés (cèpes, chanterelles) qui nous envahissent les narines sur un fond floral type roses fanées. En bouche ca envoie également et on imagine les plats d’automne qui pourraient accompagner ce divin breuvage. Et moi qui disait à mes hôtes que je dégustais ce climat de mieux en mieux....

Encore un très bon moment passé à Nuits malgré un emploi du temps surchargé. Merci à Pascale, Georges et Clément pour leur merveilleux accueil, leur sincérité, leur simplicité. Nous reviendrons bien sur

[Thierry Debaisieux]

Hugo,

Un très grand merci pour ce compte-rendu détaillé et instructif que j'ai lu avec intérêt et plaisir.

Bonne nuit,

[Hugo B.]

Bonjour Thierry,

merci pour tes remerciements !
C’est toujours avec un immense plaisir et beaucoup de passion que je rédige ces comptes-rendus de visite.
La même passion qui anime ta plume
Le temps me manque pour écrire d’avantage mais je suis content déjà de pouvoir poster régulièrement.

Amicalement,

[ptitphilou]

Bonjour,

je me joins à Thierry pour te remercier, Hugo, et pour te féliciter de ta passion que tu partages ici avec une grande sensibilité.

C'est un plaisir de te lire, comme tous ceux qui partagent leurs découvertes, leurs visites de domaines, etc. A tous, merci !

[Florent R.]

Superbe compte-rendu Hugo !
Te lire me donne furieusement envie de revoir la famille Chicotot.

[Hugo B.]

Merci les amis pour vos messages

Bu au restaurant “le café du centre” à Nuits-St-Georges un Nuits-St-Georges les Charmottes 2018.
Au nez ce vin, comme à son habitude, offre un vrai panier de fruits rouges (cerise, framboise), des notes florales plutôt violette sur un fond épices d’orient.
Belle bouche, ample, avec un profil plutôt horizontal. On retrouve le fruit et les épices sur une belle matière et acidité qui portera ce vin loin dans le temps. Les tanins, bien que soyeux, accrochent encore un peu et demanderont 4-5 ans pour se fondre. Longue finale, juteuse, fraîche et florale (violette, pivoine) qui invite à retremper ses lèvres dans le verre.
Un beau vin qui fait déjà boulot à table mais rien ne presse pour ouvrir des bouteilles si vous en avez.

Amené et bu chez des amis un Nuits-St-Georges 1er cru les Pruliers 2018. La bouteille était orpheline au domaine et Pascale m’a dit que l’on pouvait le boire maintenant même si cela reste quelque part un infanticide. Je ne regrette pas cependant de l’avoir déjà redégusté.
Robe rubis brillante assez sombre.
Le nez, wouah, difficile de décoller... tout en finesse et puissance sur des arômes de prune, de cerise, de mûre, des nuances florales, un joli boisé et un fond poudre de riz que je retrouve souvent sur ce cru.
La bouche est fidèle au nez, un vin tout en finesse et puissance, la main de fer dans le gant de velour. Profil ample, sphérique, grosse tapisse, beaucoup de fruit (cerise, prune), de qu’il faut d’acidité pour accompagner la matière. Très belle finale, longue, sapide, florale et fruitée.
Nous avons finit la bouteille sur le fromage et cela a très bien marché avec le comté, un peu moins avec l’époisse qui demande plus d’acidité même si le vin n’en est pas dénué.
Très belle bouteille qui a fait l’unanimité, rappelant même de beaux souvenirs viniques à nos hôtes.

Amicalement,

[Thierry Debaisieux]

Nous avons à nouveau goûté ce matin les Premiers Crus 2019 ouverts par Daniel jeudi dernier.

Ils ont mieux supporté cette aération prolongée que les Nuits de la Vougeraie et d'Arlaud. Ils n'ont pas pris de rides.
Aux Thorey 2019 est magnifique, il montre après 8 jours d'ouverture son grand potentiel de garde.

[Hugo B.]

Repas avec toute la belle famille, j’avais envie de voir depuis quelques temps comment évolue le millésime 2012 que j’ai toujours apprécié, un petit 2010 comme dit un certain Matthieu. J’ai donc ouvert un Nuits-St-Georges 1er cru les Saints-Georges 2012 des amis Chicotot.

La robe rubis commence à tuiler, offrant des reflets orangés sur le disque.
Le nez, bien qu’entre deux phases, est simplement sublime. On trouve des arômes de fruits rouges (framboise, groseille, pointe cerise), des arômes dits tertiaires (champignons nobles, fleurs fanées) et un fond chocolat noir très classe.
En bouche le vin offre un profil ample avec un joli velouté de texture. La matière est soutenue par une acidité qui donne une impression de tension sur la langue, c’est un vrai bonbon acidulé ce St-Georges. On retrouve les fruits rouges et les arômes tertiaires du milieu de bouche jusque dans la très longue finale fraîche.

Une très belle bouteille qui s’apprécie aujourd’hui mais qui tiendra encore facilement 5 ans en cave.

On s’est régalés

Amicalement,

[Hugo B.]

On ne se relâche pas ce soir c’est un Nuits-St-Georges les Plantes au Baron 2017.
Je n’ai pas goûté ce millésime en Bourgogne depuis quelques temps alors pourquoi ne pas ouvrir une bouteille.

La robe est couleur rubis plutôt foncé.
Au nez une pointe de réduction à l’ouverture qui disparaît rapidement à l’aération. Puis ca pinote bien avec des arômes de groseille, mûre, framboise, une pointe végétale ronce et un fond cuir animal classe. On est bien sur un Plantes au Baron, il y a de la race ici.
En bouche le vin s’exprime dans un profil ample avec un joli soyeux de tanins qui donne une sensation d’étoffe. La matière est portée par une colonne vertébrale acide (on est sur 2017 mais sans déficit de maturité), on retrouve les arômes de petits fruits rouges et noirs mais aussi des épices plutôt réglissées. La finale fraîche offre une belle longueur.

Une jolie bouteille qui s’apprécie aujourd’hui mais qui pourra rester encore pas mal d’années en cave car il y a suffisamment de matière et une belle acidité mûre qui conduiront le vin dans le temps (5-10 ans sans soucis).
Ce climat, qui est mon chouchou au domaine, est vraiment proche du niveau d’un 1er cru. Il faut dire que la parcelle est située juste en dessous des St-Georges

Amicalement,

[Hugo B.]

Sur le canard rôti farci ce midi un Nuits-St-Georges les Plantes au Baron 2018.

Robe rubis plutôt sombre.
Un joli nez très nuiton avec des notes de créosote sur un mélange de petits fruits rouges et noirs. Avec l’aération je retrouve les notes végétales type ronce caractéristique de ce beau cru et un fond épicé type réglisse.
En bouche le vin offre un profil plutôt droit mais ample avec beaucoup de matière. Beaucoup de caractère car les épices (poivre, réglisse) tapissent bien le palais en milieu de bouche mais on a aussi tous ces petits fruits rouges et noirs qui, soutenus par une belle acidité, apportent de la gourmandise. La finale fraîche est d’une grande longueur pour un village.

Une très belle bouteille avec un grand avenir devant elle.

Amicalement,

[Hugo B.]

Sur une belle pintade rôtie j’ai servi un Nuits-St-Georges 1er cru les St-Georges 2015 du domaine Chicotot. Après avoir dégusté dernièrement le simple Bourgogne pinot noir du même millésime qui s’approchait bien je souhaitais voir ce que donnait un cru.

Robe rubis plutôt foncé avec des reflets violets.
Le nez, plutôt ouvert, est d’une très grande complexité. On y trouve tous les petits rouges et noirs, la créosote, les notes florales (plutôt violette), encore quelques notes d’élevage et un fond cuir classe.
Très belle bouche, ample, concentrée mais très équilibrée. Le fruit (framboise, groseille, cassis) est enrobé par une acidité mûre apportant une gourmandise folle à l’ensemble, c’est juteux à souhait, ca déroule en bouche. La texture est légèrement veloutée donnant une impression d’étoffe. Longue finale, fraîche, florale, avec des tanins qui chatouillent encore un peu le mandibule.

Un vin d’une jeunesse folle, on avait l’impression de le déguster au tonneau. Beaucoup de plaisir maintenant mais à attendre au moins 15 ans... je pense même 20 voir 25 pour une pleine maturité. Les grands terroirs quand même...

Amicalement,

[Hugo B.]

Ce week-end ma dernière bouteille de Nuits-St-Georges aux Saints-Juliens 2018.

J’ai tendance à tordre le col aux orphelines de ma cave en ce moment

Belle couleur rubis brillant.
Au nez un panier de cerises fraîches, une pointe fruit noirs plutôt mûre, des épices poivrées, des senteurs florales (pivoine). A noter une pointe de réduction à l’ouverture qui a vite disparu.
Bouche tout en délicatesse, c’est de la dentelle, de l’infusion de pinot. Le fruit est parfaitement gainé par l’acidité, pas énormément de puissance sur ce cru mais tout de même une belle tapisse et beaucoup d’épices pour accompagner le plat (poulet rôti au four et petits légumes). Finale de longueur correcte.

Un vin de plaisir, on s’est régalé avec toutes les bouteilles du carton et on regrette presque de ne pas en avoir un autre en réserve mais on ne peut pas tout acheter ni boire.
Je dois tout de même dire que j’avais peur que ces 2018 perdent leur fraîcheur tant ce millésime était solaire, c’est pour cela que j’ai bu presque tous mes villages mais finalement ils sauront défier le temps. Je vais craquer et me reconstituer un petit stock je crois....

Amicalement,

[Patrick]

Il faudra qu’un jour que quelqu’un m’explique pourquoi je lis sans cesse que 2018 est un millésime solaire. Rien n’est plus faux. Il est au contraire plutôt classique dans son expression et en blanc - lorsqu’il n’est pas dilué - plutôt fringant et frais sur des dégrés mesurés. Précoce oui, solaire non.

[Frédéric B.]

https://www.idealwine.com/fr/saga_mille ... =Bourgogne