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Re: Les Primeurs 2015

Messagepar Didier » Ven 3 Juin 2016 18:57

Comment ne pas tirer les leçons du passé et continuer à "miner" ce système des Primeurs déjà bien malade...???
Va comprendre Charles! :shock:
Didier

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Re: Les Primeurs 2015

Messagepar Lalex » Ven 3 Juin 2016 21:38

Quelques doublons avec le post de Vincent mais je n'ai pas le courage de faire le tri.


Les dernières sorties (prix public) :


Château Canon-La-Gaffelière, Saint-Emilion Grand Cru, 1er Grand Cru Classé B, 63,15 euros
Gracia, Saint-Emilion Grand Cru, 76,00 euros
Clos L'Eglise, Pomerol, 69,00 euros
Château Beau-Séjour Bécot, Saint-Emilion Grand Cru, 1er Grand Cru Classé B, 49,00 euros
Château Joanin Bécot, Côtes de Bordeaux, Castillon, 15,40 euros
Lacoste-Borie, Pauillac, 2nd Vin du Château Grand-Puy-Lacoste, 19,60 euros
Château Grand-Puy-Lacoste, Pauillac, 5ème Cru Classé, 56,00 euros
Château Haut-Batailley, Pauillac, 5ème Cru Classé, 33,60 euros
Château Beauregard, Pomerol, 39,00 euros
Château Smith Haut Lafitte, Pessac-Léognan, Grand Cru Classé, 70,00 euros
Château Smith Haut Lafitte, Pessac-Léognan, blanc, 72,00 euros
Château La Pointe, Pomerol, 31,50 euros
Château Gruaud Larose, Saint-Julien, 2ème Cru Classé, 53,00 euros
Château Phélan Ségur, Saint-Estèphe, 33,60 euros
Sarget de Gruaud Larose, Saint-Julien, 2nd Vin du Château Gruaud Larose, 16,50 euros
Château Cantenac Brown, Margaux, 3ème Cru Classé, 39,00 euros
Le Marquis de Calon Ségur, Saint-Estèphe, 2nd Vin du Château Calon-Ségur, 19,90 euros
Château Calon Ségur, Saint-Estèphe, 3ème Cru Classé, 62,00 euros
Château Léoville Poyferré, Saint-Julien, 2ème Cru Classé, 64,50 euros
Château Rauzan-Ségla, Margaux, 2ème Cru Classé, 61,00 euros
Château Corbin, Saint-Emilion Grand Cru, Grand Cru Classé, 25,60 euros
Château Rouget, Pomerol, 36,40 euros
Château Montviel, Pomerol, 25,00 euros


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Re: Les Primeurs 2015

Messagepar Lalex » Ven 3 Juin 2016 21:57

.
Aller, je le met la cet article... :)



L'année tant attendue…
Bordeaux 2015. Un millésime gagnant, comparé par certains à 2010 ou à 2005. Enfin !
Par Jacques Dupont


Guillot criait au loup. On connaît la suite : « Menteur n'est jamais écouté, même en disant la vérité. » Ils nous l'on fait tellement de fois, le coup du très bon/très grand millésime, qu'on peine à les croire. Et si c'était vrai ? Pour aborder ce millésime 2015, il conviendrait, si l'on ne craignait pas une sorte de sécheresse dans le propos, de dresser un tableau à deux colonnes : recettes/dépenses, ou positif/négatif. Dans la première, on glisserait ces formidables mois de juin et de juillet avec chaleur impeccable, absence de précipitations, soleil qui tape dur. On ajouterait la pluie survenue juste à temps en août pour éviter de refaire du 2003 – vin de canicule au charme parfois désuet des vieilles confitures de prunes –, des nuits fraîches pour préserver les arômes, une récolte saine sans trace de pourriture...

Dans la seconde colonne, celle qui fâche, on alignerait la courbe des pluies survenues en septembre et octobre, surabondantes dans la partie nord du vignoble, mais aussi le même mois de juillet qui, avec son soleil tapant dur, a quelques fois fatigué les tanins. Surtout, on surlignerait en rouge, la montée des sucres qui, après fermentation, se transforment en alcool. Si, dans le Médoc et partout où le sage cépage cabernet-sauvignon domine, le vin se stabilise entre 13 et 14 °C, ce qui n'est déjà pas si mal, ailleurs, là où le fougueux merlot impose sa loi, on dépasse largement ce seuil.

À tel point que dans certains grands crus, on a dû procéder à des désalcoolisations par des procédés physiques assez violents. Paradoxe du moment ! On dépense des sommes considérables pour s'équiper de systèmes qui respectent au maximum l'intégrité du raisin : vendanges en petites cagettes, réception et encuvage par gravitation afin d'éviter les pompes. Et, parce que la mariée est trop belle, on passe le jus de certaines cuves sur des osmoseurs avec des pressions considérables. Va comprendre… Le réchauffement climatique n'est pas seul en cause. Loin de là. La hausse du degré trouve sa source pour une bonne part dans la volonté de bien faire. Pendant des années, pour ne pas parler en siècle, le combat de la viticulture fut celui du sucre. Comment en obtenir davantage sans avoir recours à celui de betterave par le biais de la chaptalisation ? That was the question. Sauf en (véritable) année exceptionnelle, quand un cabernet grimpait jusqu'à 10 ° et un merlot à 12 °, on invitait les voisins à venir saluer le phénomène. Ou presque, on est à Bordeaux tout de même.

Vins… troubles. Alors, on a considérablement réduit les rendements à l'hectare en taillant plus court la vigne et en procédant à des « vendanges vertes » (élimination de grappes avant la maturité), on a supprimé les engrais, remonté le palissage pour développer la partie foliaire qui fabrique le sucre tout en effeuillant en bas du cep pour que la grappe prenne davantage le soleil, etc. On a aussi vendangé plus tard qu'autrefois, à pleine maturité, quand ce n'était pas en surmaturité. S'ajoutent à cela des « détails » comme les traitements anti-pourriture (anti-botrytis) qui, sous ce climat océanique bien arrosé, ont trouvé un accueil favorable. Cela fonctionne très bien, certes, mais ces produits, en durcissant les peaux des raisins, retardent le mûrissement des tanins (pour faire court) tandis que le sucre, lui, continue de grimper. Voilà un des problèmes importants que le vignoble bordelais doit régler s'il veut continuer à conserver son image ancienne et favorable de vin digeste.

Parler d'image pour Bordeaux, c'est s'aventurer en terra incognita. Voilà une ville radieuse, rénovée, qui vient d'inaugurer sa Cité du vin, 1 3350 mètres carrés répartis sur dix niveaux. Chef-d'œuvre de verre et d'acier culminant à 55 mètres, une forme circulaire évoquant, selon ses architectes, Anouk Legendre et Nicolas Desmazières, un cep noueux de vigne, le « vin qui tourne dans le verre ou les remous de la Garonne ». Une ville qui ne sait plus quel coefficient multiplicateur il convient d'utiliser chaque année pour compter les touristes qui arrivent par paquebots entiers. Un vin dont la réputation mondiale dépasse celle des plus grands bijoutiers ou couturiers.

La faute aux spéculateurs. Mais voilà aussi, une ambiance viticole générale délétère, une identité qui peu à peu s'érode, une photo qui jaunit et se salit dans son propre pays. Et, le mal gagne alentour, chez nos voisins en Europe. Au point que les Bordelais, ceux du vignoble, finissent par s'en inquiéter. Ils auront mis du temps. Bien sûr, comme toujours en pareil cas, on crie au complot ourdi par le parti de l'étranger (la presse, les jaloux, les méchants…). On dénonce le bordeaux bashing : ce dénigrement systématique qui gagne du terrain chez les consommateurs, les cavistes et même les restaurateurs, qui oublient de plus en plus fréquemment de faire figurer du bordeaux sur leur carte. Sans parler des bars à vins, où en trouver une bouteille relève du miracle. Bien sûr, comme d'habitude, on accuse le miroir « mon beau miroir dis-moi que je suis la plus belle » et surtout pas ce qu'il reflète.

Un exemple. La vente en primeurs plaisait beaucoup aux acheteurs étrangers mais aussi à tous ceux, particuliers, qui chaque année pouvaient s'offrir à prix réduit quelques caisses de grands vins. La bonne affaire qui arrangeait tout le monde. Le client paye d'avance, mais moins cher, des crus en cours d'élevage. Est-ce une bonne année ? Faut-il plutôt choisir Pomerol, Saint-Emilion ou Pauillac ? Telles étaient les interrogations d'alors. A partir du moment où les prix des grandes vedettes flambent, le suspense passe de « lequel choisir » à « combien il coûte ». Le projecteur n'est plus braqué sur la qualité, mais sur le tarif. «

Les gens sont intéressés, on a eu beaucoup de monde dans les châteaux la semaine des primeurs, mais des gens prudents. Ils ont des doutes sur le besoin d'acheter en primeur », nous confiait sous couvert d'anonymat le directeur d'un grand cru classé de Margaux.

Mon beau miroir ne renvoie plus l'image d'un propriétaire vigneron, mais d'un insatiable spéculateur. C'est exagéré, mais les miroirs d'aujourd'hui déforment, amplifient. Pis, on ne voit plus de l'autre côté. Le reflet renvoyé par certains, peut-être trente ou quarante châteaux, masque les centaines d'autres, qui, eux, n'ont pratiquement pas bougé leur prix depuis dix ans et dont certains sont au bord de la rupture. Sur les 924 crus sélectionnés dans nos colonnes (sur quelque 3 000 vins dégustés), la plupart se situent au-dessous de 20 euros et 209 ne franchissent pas la barre de 10 euros. Ceux-là vendent en direct. Vous appelez, vous commandez, vous recevez.

Chez les grands, un autre processus de vente s'est construit au fil du temps. On l'appelle le « négoce de place » ou plus simplement « la place ». La propriété propose un prix, des courtiers relaient auprès des négociants qui achètent, envoient des messages partout dans le monde à leurs clients et, en quelques heures, si tout se passe bien, tout est vendu. Du moins virtuellement, puisque le vin continue gentiment de s'élever dans les barriques au château. Un système bien ajusté, une astuce de commerce bien rodée et unique au monde, mais qui pourtant trébuche depuis quelques années.

« Ce système - la place de Bordeaux - est assez génial, mais la propriété joue la rétention et pratique des prix tellement élevés que des petites structures de négoce sont mises à mal et vendent avec des marges très faibles », confie Stanislas Henriot, directeur de Ballande et Menneret, un des poids lourds de la place. « Nous, négociants, on voit ce qui se passe en temps réel, mais pour que ça remonte à la propriété, il faut du temps. Et en attendant, la part des investissements, des acheteurs sur Bordeaux, diminue. Tant que le marché ne donne pas une information un peu rude, cela continuera », ajoute-t-il.

Ariane Khaida, directrice générale de la maison de négoce Duclot, 200 salariés, un des deux plus importants négociants en grands crus, affiche un optimisme prudent quant à l'avenir du marché primeur : « Les gens veulent des Bordeaux, mais pas à n'importe quel prix… Si ça s'envole comme en 2009 ou en 2010, le marché ne suivra pas. Si on rate cette année, c'est dangereux pour l'avenir des primeurs. Ces dernières années, l'envolée des prix de certains crus emblématiques a fragilisé le système. Mais les propriétaires voyagent, reçoivent, échangent beaucoup et semblent réagir, on sent qu'il y a une prise de conscience. » Que sera sera, et qui vivra, verra !


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Re: Les Primeurs 2015

Messagepar Frédéric B. » Sam 4 Juin 2016 14:27

Le monde des primeurs, c'est le reflet du monde tout court. On sait que ça va se casser la gueule, mais tant qu'on est là, on profite... Et quand ça se cassera la gueule, on râlera quand même parce que ce sera toujours la faute de l'autre...
Barème de notation: 19+ à 20 = Vin mythique / 18+ à 19 = Vin exceptionnel / 17+ à 18 = Grand vin / 16+ à 17 = Excellent vin / 15+ à 16 = Très bon vin / 14+ à 15 = Bon vin / 13+ à 14 = Vin moyen / 11+ à 13 = Vin médiocre / 10 à 11 = Vin très faible
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Re: Les Primeurs 2015

Messagepar Vincent R. » Sam 4 Juin 2016 14:47

ce qui est impressionnant c'est d'entendre certains acteurs critiquer le Bordeaux Bashing alors que c'est Bordeaux qui scie la branche sur la quel il est tranquillement assis sans regarder où est le tronc !
Que le marché se retourne et que l'export se vautre sur quelques années (pas une ou deux, les coffres forts des grands chateaux sont pleins, comme les caves du négoce d'ailleurs)

En 10 ans, ils ont intégralement pulvérisé le système des primeurs et celui des FAV

Bordeaux est une appellation que j'apprécie à maturité, un type de vins pour lequel j’investissais deux fois l'an, beaucoup, en concrétisant par des commandes ma foi assez importante mes dégustations primeurs puis en complétant dans les foires aux vins où seuls les Bordeaux étaient réellement à rechcercher. Et là encore, je laissais une belle ardoise
A l'époque, les vins de Bordeaux représentaient 50% des vins de ma cave... :shock: :?
ma cave a continué de grossir mais le casier de Bordeaux a lui arrêté de se remplir... Il m'en reste largement de quoi boire jusqu'à mon dernier souffle mais tant que le négoce ne se sera pas ramassé et la pompe à fric désamorcée, fini les primeurs et fini les FAV

je préfère nettement racheter des 1982, 1986, 1990, 1995, 1996, 1998, 2005 et même les tant recherchés 2009/2010 aujourd'hui moins chers qu'à leur sortie en primeurs ou en FAV

Je rejoins Fred, ce monde court à sa perte, voit le mur se rapprocher à vitesse grand V mais doit penser que le mur disparaitra juste à la dernière seconde :roll:

:tchin:
BAREME DE NOTATION 19+ À 20:MYTHIQUE 18+ À 19:EXCEPTIONNEL 17+ À 18:TRÈS GRAND VIN 16+ À 17:GRAND VIN 15+ À 16:TRÈS BON VIN 13+ À 15:BON VIN 11+À 13:MOYEN 10 À 11:FAIBLE <10:DÉFECTUEUX
en dessous de 16, je n'achète pas! il y a si bon ailleurs!
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Re: Les Primeurs 2015

Messagepar Lalex » Mar 7 Juin 2016 08:35

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Les dernières sorties (prix public) :


Clos Fourtet, Saint-Emilion Grand Cru, 1er Grand Cru Classé B, 77,50 euros
La Closerie de Fourtet, Saint-Emilion Grand Cru, 2nd Vin, 19,30 euros
Château Les Grandes Murailles, Saint-Emilion Grand Cru, Grand Cru Classé, 36,00 euros
Château Pichon Longueville Baron, Pauillac, 2ème Cru Classé, 110,00 euros
Les Hauts de Smith, Pessac-Léognan, 2nd Vin du Château Smith Haut Lafitte, 17,50 euros
Les Hauts de Smith, Pessac-Léognan, 2nd Vin du Château Smith Haut Lafitte, blanc, 20,50 euros
Domaine de Chevalier, Pessac-Léognan, Cru Classé, 52,00 euros
Domaine de Chevalier, Pessac-Léognan, Cru Classé, blanc, 76,00 euros
Château Brane-Cantenac, Margaux, 2ème Cru Classé, 52,50 euros
Château Malartic Lagravière, Pessac-Léognan, Cru Classé, 39,55 euros
Château Malartic Lagravière, Pessac-Léognan, Cru Classé, blanc, 42,80 euros
Baron de Brane, Margaux, 2nd Vin du Château Brane-Cantenac, 19,50 euros
Château d'Issan, Margaux, 3ème Cru Classé, 47,50 euros
Blason d'Issan, Margaux, 2nd Vin du Château d'Issan 20,20 euros
Château Potensac, Médoc, 18,80 euros
Château Bellevue, Saint-Emilion Grand Cru, Grand Cru Classé, 34,00 euros
Château Carbonnieux, Pessac-Léognan, Cru Classé, 26,90 euros
Château Carbonnieux, Pessac-Léognan, Cru Classé, blanc, 24,15 euros
Château Saint-Pierre, Saint-Julien, 4ème Cru Classé, 46,90 euros
Château Gloria, Saint-Julien, 31,50 euros
Château Talbot Caillou, Bordeaux, blanc, 22,40 euros
Connétable Talbot, Saint-Julien, 2nd Vin du Château Talbot, 18,20 euros
Château Talbot, Saint-Julien, 4ème Cru Classé, 44,80 euros

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Re: Les Primeurs 2015

Messagepar Lalex » Mer 8 Juin 2016 11:42

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Les dernières sorties (prix public) :


Château Feytit-Clinet, Pomerol, 50,00 euros
Château Haut-Bailly, Pessac-Léognan, Cru Classé, 77,00 euros
Château Le Gay, Pomerol, 84,00 euros
Manoir de Gay, Pomerol, 19,60 euros
Château Lynch-Bages, Pauillac, 5ème Cru Classé, 96,50 euros
Echo de Lynch-Bages, Pauillac, 2nd Vin du Château Lynch-Bages, 29,00 euros
Blanc de Lynch-Bages, Bordeaux, 29,00 euros
Château La Fleur-Pétrus, Pomerol, 140,00 euros
Château Belair-Monange, Saint-Emilion Grand Cru, 1er Grand Cru Classé B, 105,00 euros
Clos Saint-Martin, Saint-Emilion Grand Cru, Grand Cru Classé, 48,00 euros
Château Pavie-Macquin, Saint-Emilion Grand Cru, 1er Grand Cru Classé B, 61,50 euros

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Re: Les Primeurs 2015

Messagepar Lalex » Jeu 9 Juin 2016 16:05

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Les dernières sorties (prix public) :

Château Nénin, Pomerol, 47,00 euros
Fugue de Nénin, Pomerol, 2nd Vin du Château Nénin, 20,90 euros
Château Beauséjour Duffau, Saint-Emilion Grand Cru, 1er Grand Cru Classé B, 84,00 euros
Le Dragon de Quintus, Saint-Emilion Grand Cru, 2nd Vin du Château Quintus, 27,50 euros
Château Quintus, Saint-Emilion Grand Cru 110,00 euros
Château Palmer, Margaux, 3ème Cru Classé, 240 euros


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Re: Les Primeurs 2015

Messagepar Frédéric B. » Jeu 9 Juin 2016 17:57

Encore un grand moment de rire avec le Bordeaux blanc de Cos d'Estournel à près de 120 euros TTC la bouteille. :twisted:
Barème de notation: 19+ à 20 = Vin mythique / 18+ à 19 = Vin exceptionnel / 17+ à 18 = Grand vin / 16+ à 17 = Excellent vin / 15+ à 16 = Très bon vin / 14+ à 15 = Bon vin / 13+ à 14 = Vin moyen / 11+ à 13 = Vin médiocre / 10 à 11 = Vin très faible
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Re: Les Primeurs 2015

Messagepar Lalex » Ven 10 Juin 2016 13:39

.
Les dernières sorties (prix public) :

Château Cos d'Estournel, Bordeaux, blanc, 99,00 euros
Château Cos d'Estournel, Saint-Estèphe, 2ème Cru Classé, 141,00 euros
Les Pagodes de Cos, Saint-Estèphe, 2nd Vin du Château Cos d'Estournel, 38,00 euros

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Re: Les Primeurs 2015

Messagepar Lalex » Lun 13 Juin 2016 14:07

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Les dernières sorties (prix public) :


Château Margaux, Margaux, 1er Cru Classé, 450,00 euros
Pavillon Rouge du Château Margaux, Margaux, 2nd Vin du Château Margaux, 120,00 euros
Pavillon Blanc du Château Margaux, Bordeaux, 120,00 euros
Moulin de La Lagune, Haut-Médoc, 2nd Vin du Château La Lagune, 17,50 euros

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Re: Les Primeurs 2015

Messagepar Lalex » Mar 14 Juin 2016 15:55

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Les dernières sorties (prix public) :


Château Troplong Mondot, Saint-Emilion Grand Cru, 1er Grand Cru Classé B, 99,40 euros
Château Pavie-Decesse, Saint-Emilion Grand Cru, Grand Cru Classé, 105,00 euros
Château Angélus, Saint-Emilion Grand Cru, 1er Grand Cru Classé A, 294,00 euros
Le Carillon d'Angélus, Saint-Emilion, 2nd Vin du Château Angelus, 68,00 euros
Château Bellevue-Mondotte, Saint-Emilion Grand Cru, 126,00 euros
Château Pavie, Saint-Emilion Grand Cru, 1er Grand Cru Classé A, 294,00 euros
Château Montrose, Saint-Estèphe, 2ème Cru Classé, 119,00 euros
La Dame de Montrose, Saint-Estèphe, 2nd Vin du Château Montrose, 30,80 euros
Château La Mondotte, Saint-Emilion Grand Cru, 1er Grand Cru Classé B, 201 euros
Château Pichon Longueville Comtesse de Lalande, Pauillac, 2ème Cru Classé, 113 euros
Réserve de la Comtesse, Pauillac, 2nd Vin du Château Pichon Comtesse de Lalande, 31,00 euros

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Re: Les Primeurs 2015

Messagepar Lalex » Ven 17 Juin 2016 08:21

.
Les dernières sorties (prix public) :


Château Mouton Rothschild, Pauillac, 1er Cru Classé, 450,00 euros
Le Petit Mouton de Mouton Rothschild, 2nd Vin du Château Mouton-Rothschild, Pauillac, 120,00 euros
Aile d'Argent, Bordeaux, 60,00 euros
Le Clarence de Haut-Brion, 2nd Vin du Château Haut-Brion, Pessac-Léognan, 95,00 euros
La Chapelle de La Mission Haut-Brion, 2nd Vin du Château La Mission Haut-Brion, Pessac-Léognan, 69,00 euros
Château La Mission Haut-Brion, Pessac-Léognan, Cru Classé, 345,00 euros
Château Haut-Brion, Pessac-Léognan, 1er Grand Cru Classé, 450,00 euros
La Clarté de Haut-Brion, 2nd Vin du Château Haut-Brion, Pessac-Léognan, 69,00 euros
Château La Mission Haut-Brion, Pessac-Léognan, blanc, 550,00 euros
Château Haut-Brion, Pessac-Léognan, blanc, 690,00 euros
Château Léoville Las Cases, Saint-Julien, 2ème Cru Classé, 155,00 euros
Le Petit Lion du Marquis de Las Cases, 2nd Vin du Château Léoville Las Cases, Saint-Julien, 32,50 euros

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Re: Les Primeurs 2015

Messagepar Lalex » Mar 21 Juin 2016 18:32

.
Les dernières sorties (prix public) :

Château L'Eglise Clinet, Pomerol, 210,00 euros
Château Ducru-Beaucaillou, Saint-Julien, 2ème Cru Classé, 141,00 euros


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Re: Les Primeurs 2015

Messagepar Lalex » Jeu 30 Juin 2016 21:30

.
Les dernières sorties (prix public) :


Caisse Duclot Bordeaux Collection, Bordeaux, 5 600,00 euros
Petit-Figeac, Saint-Emilion Grand Cru, 2nd Vin du Château Figeac, 31,00 euros
Duo de Conseillante, Pomerol, 2nd Vin du Château La Conseillante, 33,60 euros
Château Cheval Blanc, Saint-Emilion Grand Cru, 1er Grand Cru Classé A, 620,00 euros
Château Figeac, Saint-Emilion Grand Cru, 1er Grand Cru Classé B, 120,00 euros
Château L'Evangile, Pomerol, 172,50 euros
Carruades de Lafite, Pauillac, 2nd Vin du Château Lafite-Rothschild, 138,00 euros

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