Deux mots sur le marché avant de revenir dessus plus en détail dans la semaine.
J'avais des rendez-vous importants aujourd'hui et n'ai donc pas pu gouter autant de choses que les copains mais j'ai un métier moi
Avant tout, faire le marché avec Christophe, ça n'a rien à voir avec faire le marché sans Christophe
La mauvaise nouvelle, c'est que ce que j'ai aimé est terriblement conventionnel, des vins que l'on pouvait quasiment acheter les yeux fermés!
A vrai dire, on pourrait faire un copier coller des meilleures cuvées des années précédentes
Pour les quelques vins que j'ai pu gouter, je dirais que
La Landonne 2010 de JM Gerin
Les Grandes Places 2010 de JM Gerin,
la Sereine Noir 2010 de Gangloff
La Côte Brune 2010 de Jamet
et même la Côte Rôtie 2010 de jamet
La Maison Rouge 2010 de duclaux
Lancement 2010 de S. Ogier
Belle Hélène 2010 de S. OGier
Château d'Ampuis 2009
Landonne 2008 de Guigal
La turque 2008 de Guigal
Le vin noir 2011 de S. Robert
Grandes Places de Cluzel roch
le Meal 2011 de Faurie
La Pavillon 2009 de Chapoutier
sont toutes de remarquables bouteilles qui feront le bonheur de leurs acheteurs... le problème, à part une ou deux, il n'y a rien à vendre ou alors à des prix
J'ai bien gouté d'autres trucs plus raisonnables, les St Jo de chez Coursodon, le Cornas VV 2010 de Voge, le domaine des tourettes de Delas, la chatillonne de Vidal Fleury 2009, le simple Champin de seigneur de Gerin, la Barbarine de Gangloff, la cuvée du Papy de S. Montez et ses grandes places tellement dotées quelles en sont difficiles à gouter , la Peroline de Levet, le simple Brune & blonde de Guigal 2009 d'une très grande gourmandise, les grandes places de Pichat, la germine de Duclaux, l'hermitage blanc 2011 et le bessard Meal 2011 de B. Faurie, il y a tellement de jolies choses!
Bien sûr, quelques déceptions aussi mais il y a tellement de bonnes choses qu'autant ne pas s'étendre sur ceux dont les vins ont un poil moins bien gouté cette année !
Pas toujours facile de rester raisonnable tant il y a de beaux trucs cette année encore et je ne fais que commencer